Le collège de Johannesburg

09/Sep/2010

Un des événements tes plus caractéristiques et les plus consolants des annales de l'institut, si, comme nous aimons à l'espérer, Dieu fait un jour qu'on ait la facilité de les écrire, sera sans contredit le développement providentiel qu'ont pu prendre, au cours de ce dernier quart de siècle, nos œuvres situées dans les pays lointains, en compensation des ruines amoncelées par la persécution sur celles où s'exerçait, depuis l'origine de la Congrégation, le zèle de nos aînés. Et c'est en vue de préparer des matériaux au futur annaliste, et de le suppléer quelque peu, en attendant qu'il plaise au Seigneur de nous le donner, que le Bulletin a pris à tâche, dans chacun de ses numéros, de rappeler les principaux faits qui ont marqué les commencements et les progrès successifs de quelqu'une de ces œuvres relativement récentes. Mais, pour l'ordre à suivre, il est souvent obligé de procéder "au petit bonheur" et selon le caprice des circonstances. De là vient que certaines d'entre elles attendent parfois leur tour un peu plus que de raison. Tels sont, par exemple, il le reconnaît, plusieurs de nos établissements de l'Afrique du Sud. C'est pourquoi il est heureux aujourd'hui de mettre à profit l'obligeance d'un bon Frère de cette province, qui se trouve actuellement au Grand Noviciat, pour donner à ses lecteurs les intéressants détails qui vont suivre sur le Collège du Sacré-Cœur, à Johannesburg.

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Johannesburg, qui est aujourd'hui le plus grand centre populeux non seulement du Transvaal, mais de toute l'Afrique méridionale, a surgi comme par enchantement au milieu d'un désert, il n'y a guère qu'une vingtaine d'années. En 1885, il n'y avait dans la vallée ou plutôt dans la plaine du Witwatersrand qu'une misérable masure pour démontrer que la solitude du "limitless veld‘’, avait été brisée par la présence de l'homme ; mais en 1886, les deux frères Struben y découvrirent le fameux "reef"aurifère d'une très grande richesse, et aussitôt la plaine fut envahie par des milliers d'hommes venus d'abord de différentes parties de l'Afrique du Sud, et ensuite de presque toutes les autres parties du monde., Les tentes se groupèrent sur certains points, et ce qui fut d'abord connu comme le "Ferreira Township’’ devint la ville moderne de Johannesburg, ainsi nommée en l'honneur du Président de la République du Transvaal, Johannes Paulus Kruger. Le Gouvernement avait fait tracer dès le commencement les plans d'une ville capable de répondre aux besoins qui se faisaient sentir; et qu'il soit dit à son éloge, que ce plan fut très bien conçu-: rues larges et se croisant toutes à angle droit, places publiques, jardins et parcs, rien n'avait été oublié. Le terrain fut divisé en "stands’’, et les travaux de construction furent menés avec vigueur-. On bâtissait les maisons par centaines, mais avec plus de rapidité que de solidité et d'élégance. Après quelques années ces premiers travaux furent remplacés par des "sky scrapers’’, et des monuments publics qui rivalisent avec ce qu'il y a de mieux dans les grandes villes d'Europe et d'Amérique. En moins de 25 ans, Johannesburg a atteint une population de plus de 150.000 habitants. C'est l'incarnation du progrès,

Ce fut dans ce centre prospère qu’en 1889, à peine quatre ans après la découverte des mines d'or, les Pères Oblats de Marie qui y avaient déjà bâti une église et un presbytère, demandèrent â nos Frères d'y venir ouvrir une école pour les enfants de la population cosmopolite qui l'envahissait de jour en jour. Le très Rév. Père Monginoux, O. M, I., Préfet Apostolique du Transvaal, qui a depuis conquis entièrement le cœur des Frères par sa bienveillance et sa bonté, se chargea lui-même de tout arranger. Il acheta une belle propriété, y fit bâtir une école de trois classes, et une maison pour les Frères. En juillet 1889, le bon Frère Frédéricus, plus tard Provincial, avec les Frères Euphrase et Albert-Dominic, y plantèrent l'étendard mariste qui n'a cessé d'y flotter depuis. Les Sœurs de la Sainte Famille de Bordeaux, qui avaient précédé les Frères à Johannesburg, furent heureuses de leur céder les garçons qu'elles avaient reçus jusqu'alors, et ainsi l'ouverture se fit avec une quarantaine d'élèves. Mais chaque jour vit ce nombre s'accroître; et bientôt le local fut trop petit et le nombre des professeurs insuffisant. Le bon Père Monginoux sut pourvoir à ce double besoin: il fit ajouter une classe assez vaste à celles qui existaient déjà, et il obtint des Supérieurs un Frère de plus. C'est alors qu'arriva le Frère Valérian, qui fut le bras droit du Frère Frédéricus pendant plus de dix ans. Pendant cette période l'école atteignit une prospérité extraordinaire qui nécessita bientôt de nouvelles constructions. Remarquons ici que le bon Frère Directeur, qui était un véritable apôtre du Sacré-Cœur, avait mis l'école sous la protection de ce divin Cœur, et que cette dévotion y fut en honneur dès le commencement. Ne serait-ce pas là le vrai secret de ce succès qui allait toujours croissant?

Mais les œuvres de Dieu doivent porter l'empreinte de l'adversité; il était donc juste qu'on la trouva ici. En effet, la ville de Johannesburg n'était encore alors que bien mal organisée on ne produisait rien sur place excepté de l'or; on dépendait donc, pour l'alimentation et fournitures de tout genre, non seulement du dehors, mais d'une distance considérable. La gare la plus proche était à environ 350 kilomètres, et pendant la belle saison les transports prenaient de 15 jours à trois semaines. Aussi on avait souvent à payer des prix de famine pour les choses les plus nécessaires, et parfois même c'était la famine complète. L'eau même manqua à plusieurs reprises. Les conséquences inévitables de cet état de choses furent les fièvres et les maladies, auxquelles les Frères n'échappèrent point. Parfois il y en avait un ou deux d'atteints, et il y en eut jusqu'à trois à la fois. Celui qui restait sur pied avait donc à faire le travail des malades et à les soigner.

Plût à Dieu que l'épreuve se fût arrêtée là! Hélas, la mort devait affermir l'œuvre déjà fécondée par la souffrance. Le Frère Albert-Dominic succomba à la fièvre typhoïde en juillet 1892, et le Frère Sébastien, après différentes complications, en février 1893. Nous nous faisons un devoir de témoigner en passant toute notre reconnaissance aux bonnes Sœurs de la Sainte Famille, qui ont toujours été d'un dévouement au-dessus de tout éloge pour nos Frères malades. Comme la maladie de nos chers défunts s'était annoncée par des symptômes sérieux, on les avait transportés à l'hôpital; et ce fut là que les bonnes Sœurs leur prodiguèrent les soins les plus assidus.

L'école avait donc été bien éprouvée, mais le Sacré-Cœur et notre Bonne Mère veillaient sur leur œuvre. De la Colonie da Cap, arrivèrent des ouvriers pour remplir les vides faits par la mort, et bientôt les choses prirent une meilleure allure. L'école comptait alors 350 élèves. Désormais, la prospérité qui lui avait été acquise au prix de la souffrance et de la vie même ne devait plus la quitter, excepté momentanément pendant la guerre anglo-boer.

Le Très Cher Frère Procope, Assistant, dans un rapport qu'il fit au Rév. Frère Supérieur sur nos établissements de l'Afrique du Sud, le 8 mai 1895, fit à ce propos une remarque que nous nous plaisons à reproduire : "La prospérité de l'école de Johannesburg a dépassé toutes les prévisions. Placée sous le patronage du Sacré-Cœur, elle occupe le premier rang parmi les autres écoles de la contrée, tant pour le nombre des élèves que pour le résultat des examens tenus, chaque année, par l'Université du Cap. Chose extraordinaire et qui ne peut s'expliquer que par une protection spéciale de la Sainte Vierge, les classes n'ont jamais été interrompues et n'ont pas souffert par  l'absence des Frères malades ou décédés. Il est donc vrai de dire que là où les Frères sont pieux et réguliers, la maladie est encore une bénédiction pour la Communauté, et que ceux que le Seigneur appelle à lui continuent encore leurs bons services du haut du ciel".

Les succès brillants aux examens de l'Université dont il vient d'être parlé, l'érection d'une belle salle de gymnase, la formation d'un bataillon scolaire, et plusieurs autres marques de progrès et de vitalité; attirèrent l'attention du public, et bientôt le nombre des élèves s'éleva à 500. C'est alors (en décembre 1895) que survint un mouvement politique qui menaça bien L'école, mais qui, grâce à Dieu, passa sans lui faire un mal sérieux. Les habitants de Johannesburg, à bout de patience de payer des impôts énormes qui représentaient environ 75 0/0 du revenu total du Transvaal, mais sans y avoir aucun droit de citoyens, s'armèrent et se révoltèrent contre le Gouvernement Boer. Alors eut lieu l'invasion ou raid ‘’du Dr Jameson’’ avec ses troupiers du Bechuanaland. L'horizon était bien noir:

Johannesburg était en état de siège, et les familles partaient par milliers pour aller chercher un refuge soit au Cap, soit dans la Colonie de Natal. Heureusement ces événements furent de courte durée et eurent lieu pendant les grandes vacances de décembre et de janvier. A la rentrée des classes presque tout le monde était de retour, et ainsi les événements n'eurent pas de suites fâcheuses pour l'école.

En 1898, le cher Frère Félix, Visiteur du district, alla établir sa résidence à Johannesburg en vue de négociations qui étaient sur pied pour le transfert complet de la propriété de l'école aux Frères, et en vue de la fondation d'un juvénat. Le transfert fut effectué vers le milieu de l'année, et ainsi l'école avec toutes ses dépendances devint la propriété exclusive des Frères. Le nombre des élèves s'élevait alors à 800, et comme le local, malgré plusieurs additions, était encore trop petit, il fallut louer des maisons polir les transformer en classes. On eut même recours à une tente énorme qui abrita pendant près de deux ans 150 écoliers. On préparait des plans pour une belle construction quand survinrent les évènements de 1899-1902, c'est-á-dire la guerre anglo-boer, et il fallut remettre â plus tard l'exécution des plans proposés.

La guerre éclata en octobre 1899. Come les familles anglaises eurent à quitter le Transvaal, on peut se faire une idée de l'influence qu'eut cet événement sur l'école. De 800, le nombre des élèves tomba à 150. L'école resta ouverte pendant toute la durée de la guerre et fut placée sous le protectorat de la France. Le drapeau tricolore, au centre duquel on avait placé l'emblème du Sacré-Cœur, flotta sur l'école pendant trois ans comme gage de protection et de tranquillité. Sous les auspices de la Société de Genève et de la Société des Ambulances de Paris, et sous la direction de la colonie française de Johannesburg, une ambulance fut établie dans la partie de l'école devenue vide, et la furent reçus sans distinction les blessés Anglais et Boers. Le service de l'ambulance fut fait en partie par lés Frères et en partie par des gens du dehors.

Les voies de communication ayant été coupées, Johannesburg resta isolée pendant près d'un an. Alors les souffrances et les privations furent une répétition des épreuves des premières années, que les exigences de la loi martiale rendaient intolérables. Après l'invasion du Maréchal Roberts, les communications furent rétablies au moyen de trains blindés, et la ville reprit petit à petit son aspect d'autrefois. Les Frères eurent même le bonheur de recevoir la visite du Cher Frère John, Assistant, vers la fin de la guerre; mais pas sans avoir fait maintes démarches pour obtenir le permis exigé par la loi martiale.

Quand la paix fut signée. Johannesburg se repeupla rapidement, et l'école reprit son allure d'autrefois. Ou remonta ainsi rapidement jusqu'à 600 élèves, chiffre autour duquel on a oscillé depuis. Un des premiers soins des Anglais, après la conquête, fut d'établir des écoles de partout. Dans la ville même de Johannesburg on compte en ce moment près de trente écoles de garçons. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner que notre école se soit un peu ressentie d'une telle abondance d'établissements, dont 75 % sont entièrement gratuits, et qu'ainsi on ne soit pas remonté au chiffre de 800 qu'on avait avant la guerre. Ce qui est surprenant, au contraire, c'est qu'elle n'ait pas eu plus à souffrir d'une pareille concurrence,

Les projets de construction furent repris en 1903 quand les plans d'une construction à trois étages furent approuvés par le Régime. Une partie de la façade principale fut bâtie cette année même. Quatre ans plus tard, le cher Frère Columbanus, alors Directeur, et aujourd'hui Provincial de l'Afrique du Sud, fit entrevoir aux Supérieurs la nécessité et tous les avantages de pouvoir recevoir quelques pensionnaires. Le projet fut approuvé, et afin de le mettre á exécution on compléta la façade principale. Malgré le prix élevé de la pension que demandent les conditions du pays, on fut bientôt au complet avec 50 pensionnaires. Presque en même temps, les cours de l'école avaient été poussés au-delà du programme de l'enseignement secondaire, et elle avait désormais droit au titre de Collège qu'elle a porté depuis.

La photographie que nous reproduisons ici est celle de la façade principale dont il vient d'être parlé. Comme on le voit, elle comprend trois étages et un sous-sol. C'est une construction dont la solidité, la sécurité et l'hygiène forment le trait distinctif, et on la regarde avec raison comme un modèle dans son genre. Quand le plan projeté sera achevé, elle représentera le lettre E, c'est-à-dire, façade principale, deux ailes qui lui font suite à angle droit aux extrémités, et avant-corps au centre pour l'escalier. Le sous-sol est occupé par la cuisine, les réfectoires, la salle de musique, et la salle d'étude des pensionnaires. Le rez-de-chaussée et le premier étage sont occupés par les classes; et l'étage supérieur est divisé en cieux dortoirs avec lavabo et salles de bains au centre. L'es couloirs, selon la coutume des pays chauds, sont l'extérieur et sont bâtis en forme de cloître. En ce qui concerne le service de l'eau, l'éclairage, etc. …, c'est "up-to-date’’ comme disent les Anglais. La chapelle, les appartements des Frères, la salle de gymnase et le laboratoire de chimie sont dans des bâtiments séparés. Pour compléter le plan proposé, il reste à bâtir l'aile droite et à exhausser d'un étage l'aile gauche qui existe déjà. L'aile droite est l'objet des grands désirs de la Communauté, surtout parce qu'elle doit contenir la nouvelle chapelle. Espérons que Notre Seigneur exaucera leur souhait dans un avenir très prochain!

En ce qui concerne l'organisation et les études, le Collège est divisé en seize classes ou environ. Les études commencent à l'a b, c, et se terminent par l'examen connu sous le nom d'Intermediate B. A., qui est à peu près équivalent au Baccalauréat français. L'anglais, le latin ou le grec, les mathématiques (algèbre, géométrie, trigonométrie), une langue étrangère moderne, et deux sujets de sciences (Physique, chimie, géologie, zoologie, botanique) sont obligatoires. Comme sujets facultatifs, on peut prendre cieux des sujets non choisis dans le premier groupe. Les examens moins élevés auxquels on prépare les élèves sont le "Junior Certificate’’ou ‘’School Higher’’et "Matriculation’’. Tous ces examens sont dirigés par l'Université du Cap de Bonne Espérance. Comme il a déjà été remarqué, chaque année ajoute de nouveaux et beaux succès à ceux déjà remportés les années précédentes, et le Collège a lieu d'être fier de sa longue liste de lauréats dans ces examens.

Aujourd'hui, sous la direction du Cher Frère Henry-Mary, le Collège semble avoir retrouvé tout l'enthousiasme des premières années. Jetons un coup d'œil sur ce petit monde scolaire. Nous y trouvons surtout des Anglais, puis des Américains, des Boers, des Allemands, des Français, des Portugais, etc. ; toutes les nations y sont représentées. Au point de vue de la religion il en est de même: catholiques, protestants et juifs rivalisent d'ardeur pour l'honneur de leur Collège. Ce mélange, qui étonnera peut-être certains de nos Frères habitués à n'avoir que des élèves catholiques, a de grands avantages dans un pays protestant, mais il n'entre point dans notre plan d'en parler ici.

Les élèves catholiques reçoivent l'instruction religieuse à part, et ont l'avantage d'une chapelle pour y faire leurs exercices de piété. Ce privilège a existé dès les premiers jours de l'établissement, le bon Frère Frédéricus ayant fait généreusement le sacrifice de sa chambre pour y placer Notre Seigneur. Depuis lors, une salle beaucoup plus grande et plus commode a été aménagée à cette fin. Là, les Frères ont le privilège de la Sainte Messe presque tous les jours et de la Bénédiction du Très Saint Sacrement très souvent.

Le service du chœur de l'église principale de Johannesburg est fait par les élèves du Collège sous la direction des Frères. La dignité, la piété et la régularité dont les enfants y font preuve édifient toute la paroisse. Monseigneur Miller en plusieurs circonstances, en a témoigné publiquement sa satisfaction.

Les Frères dirigent aussi un patronage ou "guild’’sous le vocable du Sacré-Cœur. A ce guild appartiennent non- seulement les élèves, mais aussi un nombre considérable d'anciens élevés catholiques. Les réunions ont lieu au Collège tous les dimanches dans l'après-midi. Les réunions commencent par certaines prières, suivies d'une petite instruction et ensuite de la Bénédiction du Très Saint Sacrement deux fois par mois. Après cela les membres se livrent à la lecture ou à des amusements innocents.

Il nous reste à dire un mot de la fidélité des anciens élèves du Collège. Elle est vraiment remarquable et on pourrait citer des faits nombreux pour le démontrer. Le départ d'un Frère ou la visite d'un ancien professeur ne sont jamais passés inaperçus; parfois même les démonstrations extérieures sont un peu embarrassantes pour ceux qui ont à s'y soumettre. Ils se sont constitués en Société amicale des anciens élèves, et en outre des réunions qu'ils ont de temps en temps, ils organisent chaque année un grand banquet où, aux ‘’toasts’’ ils font à l'envi l'éloge de leur Collège et de leurs anciens professeurs. On compte parmi eux des hommes de toutes les professions: avocats, médecins, notaires, ingénieurs, etc. … C'est à ce banquet que le Président fait connaître l'état financier de la Société. II arrive parfois que la cotisation annuelle n'a pas été suffisante pour faire face aux dépenses courantes et maintenir une Bourse fondée au Collège par la Société. Alors on se cotise selon les besoins.

Même en ce qui concerne les jeux et sports, qui sont en si grand honneur chez les peuples de race anglaise, il se constitue des Clubs composés exclusivement d'anciens élèves. Le Football Club des anciens élèves, par exemple, a une renommée qui s'étend à toutes les parties de l'Afrique du Sud.

En terminant cette petite notice sur l'établissement de Johannesburg, nous ne pouvons nous empêcher de remercier le Sacré-Cœur et notre Bonne Mère, qui ont béni si visiblement cette :œuvre; et remarquons, une fois de plus, que cette bénédiction ne manque jamais dans .les communautés où règnent la piété, la régularité, et toutes les vertus maristes.

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