Conférence générale ? 17 et 18 septembre
Après la prière du matin (mardi, 17) le F. Emili Turú a motivé la suite à partir de la question suivante : Comment l’Institut Mariste veut-il être perçu dans le monde, dans les communautés locales, en 2020 ?
Il y a eu un temps de réflexion personnelle, puis une mise en commun en groupe, suivi du choix de cinq affirmations importantes sur la manière dont on souhaite voir l’Institut en 2020. Les phrases des participants ont été placées par similitude afin que tous aient le temps d’en prendre connaissance. A la fin, librement, un participant de chaque groupe s’est exprimé devant l’assemblée. Les échos ont révélé des convergentes, des divergences, des surprises et de possibles absences, ce qui n’a pas été sans frapper certains frères.
L’après-midi, après la prière mariale, le F. Emili a donné des nouvelles sur les frères d’Alep : ils vont bien et programment la prochaine année scolaire, bien qu’ils ne puissent pas communiquer via internet.
Pour la suite du travail le F. Emili a posé la question suivante : Fonctionnons-nous comme un Institut international ? Il a été demandé aux participants d’indiquer ce qui, à leur sens, se fait et ce qui pourrait être amélioré.
Les questions de la journée ont constitué la base du travail du lendemain.
Le lendemain, 18 septembre, la prière du matin a été centrée sur l’évangile des noces de Cana. Le F. Josep M. Soteras, qui l’a animée, a aidé à approfondir le texte biblique, puis a proposé un temps de réflexion personnelle.
Le F. Emili Turú a fait ensuite un bref parcours des travaux de la Conférence Générale jusqu’à ce jour. Six domaines ont été définis à partir du travail de la veille. On peut les résumer ainsi : les plus vulnérables ; disponibilité globale ; communautés maristes internationales (frères et laïcs) ; vie significative ; évangélisation, et gouvernement. Le Supérieur Général a invité les participants à les approfondir et à les concrétiser. Six groupes ont été formés – un par domaine – pour que les participants puissent s’inscrire d’après leur intérêt.
Avant de commencer le travail en groupes, le F. Emili a recommandé de ne pas perdre de vue l’approche globale de l’Institut, comme institution internationale ; avec une mission qui surgit de l’expérience Montagne et qui s’adresse aux « Montagne » d’aujourd’hui ; dans une Église à visage marial, où la vie religieuse va aux « frontières » pour évangéliser.