
Frères Aujourdhui
Une retraite mariste européenne eut lieu, du 28 juillet au 3 août, dans la Résidence Mariste Champagnat de Valladolid. Le nombre total de participants a été de 42, venant de différentes Provinces maristes d'Europe : Compostela (6), Europe Centre-Ouest (6), Ibérica (7), l'Hermitage (7), Mediterránea (7), les membres de l’Équipe Frères Aujourd'hui : Ernesto Tendero, Maurice Taildeman, Carlos García, Juan Carlos Fuertes, Antonio Léal et les traducteurs : Fabricio Galiana, Teófilo Minga et Francisco Castellanos. Nous avions comme aumônier, D. Antonio Romo.
La retraite, avait pour thème : « Marie, aurore des temps nouveaux qui émergent déjà, » et elle a été centrée sur la Parole de Dieu. On avait proposé pour cette retraite les suivants objectifs :
- Stimuler notre vocation mariste à partir des appels du XXIème Chapitre général.
- Développer l’intériorité comme un moyen d'approfondir notre relation avec Dieu et avec nous-mêmes.
- Partir de la figure de María dans la parole de Dieu comme la source d'inspiration pour vivre notre vocation mariste aujourd'hui.
- Offrir une expérience de rencontre et de dialogue fraternels dans pour l'Europe mariste
Frère Ernesto Tendero était chargé de l’aide à la réflexion de chaque jour au moyen de questions nucléaires : intériorité, nouveau modèle d'être Frère, nouvelles relations laïcs – Frères, évangélisateurs parmi les jeunes et la pastorale des vocations.
Le dialogue personnel ainsi que le partage en groupe ont contribué à la réflexion personnelle et l’enrichissement mutuel.
Ambiance et climat de la retraite bien soignés et préparés : longs moments de silence, bons équipements de la maison, repas, prières communautaires, célébrations eucharistiques, traduction simultanée, la mise en commun des témoignages, les environs de la maison… tout a contribué à la présence d’une dynamique propice à l'intériorité et à la réflexion personnelle.
La cérémonie finale de « l’envoie » nous a rappelé que nous portons en nous un grand trésor, une Géode, à découvrir et à partager avec les autres.
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Texte d’Antonio Marín Alba