19/Apr/2021 COLOMBIE

Pâques mariste dans la Province de Norandina – « L’ADN de notre espérance »

Du 31 mars au 4 avril, la Province Norandina a vécu, dans la ville d’Ibague, la « Pâques Mariste 2021 : l’ADN de notre Espérance ». Les participants de toute la Province (Colombie, Équateur et Venezuela) y ont vécu une rencontre avec Jésus en l’accompagnant dans sa Passion, sa Mort et sa Résurrection.

Le Collège Champagnat d’Ibagué fut le témoin d’une démarche de carême que, durant les 40 jours précédent Pâques, ont vécu les participants afin vivre en plénitude l’invitation de notre Seigneur. Ce fut l’occasion de vivre une expérience de foi offerte au Maristes de Champagnat, et de vivre des temps de réflexion personnels et communautaires qui ont rendu possible le rencontre avec le Dieu de la Vie tout en livrant un message d’espérance grâce à la rencontre avec le Ressuscité.

Malgré les conditions de pandémie et de confinement, il y eut environ 256 personnes qui s’y sont inscrites, venues de toute la Province : les Frères des trois pays, un bon nombre de laïcs membres des différentes fraternités, et les volontaires de la pastorale des enfants et des jeunes maristes; y ont également participé des Maristes de Champagnat que l’on retrouve sous différentes latitudes et qui se connectaient grâce aux différentes plateformes que l’on a utilisées.

Regroupés en 18 communautés pascales, les participants ont pu vivre les catéchèses du Triduum Pascal, animées par le F. José Miguel Caballero, le Père Germán Medina et le Père Carlos Iván Martínez, qui ont offert les différentes réflexions autour du thème de l’ADN de Jésus, comme étant celui qui invite à vivre le service, l’engagement généreux dans la croix et le vécu d’un nouveau code génétique pour vivre la résurrection.

Les célébrations centrales furent transmises en direct à travers les réseaux sociaux de la Province, avec plus de deux mille vues des différents événements. Et il faut souligner l’accompagnement, en présentiel, de 43 personnes invitées qui, en suivant tous les protocoles de biosécurité, accompagnaient les célébrations là où se faisait la transmission.

Quelques jours après la fin des Jours Saints, l’impact positif que cette expérience a eu sur ceux qui y ont participé est toujours perceptible.

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