Rencontre des jeunes maristes (EJM)
Plus de 1.600 étudiants se sont rencontrés à la Pontificia Universidade Católica do Rio Grande do Sul (PUCRS – Université Pontificale Catholique de Rio Grande du Sud) lors de la rencontre des Jeunes Maristes de la Province du Brésil Sud-Amazonie, le 25 août dernier, à Porte Alegre.
Les présentations se sont concentrées autour de thèmes comme le racisme, le sexisme et l’homophobie. « Aborder ces sujets est très important puisque la PJM est un milieu d’acceptation des différences » affirmait Carolina Oliveira, étudiante du Collège Mariste Champagnat.
Sous le thème ‘Attitude’, le EJM avait pour objectif d’aider les jeunes à réfléchir sur la situation actuelle du pays et les motiver à faire la différence.
Le Supérieur général, le Frère Ernesto Sánchez, a fait parvenir un message pour la rencontre dans lequel il disait aux jeunes que « ils forment une partie importante du rêve de Champagnat ».
« Un rêve qu’aujourd’hui nous pourrions traduire comme être un phare d’espérance dans un monde qui en a besoin, un monde en turbulence », a insisté le F. Ernesto. « Nous pourrions imaginer la différence que nous pouvons apporter dans le monde si chacun devenait une source lumineuse d’espérance au milieu de ses amis, de sa famille, des pauvres. »
La rencontre, organisée par la Pastorale Juvénile Mariste (PJM) de l’Université, compte sur l’appui d’environ 70 collaborateurs pour pouvoir offrir aux jeunes des ateliers, des temps de célébration et de fraternisation.
Le coordonnateur de la pastorale de la Province, José Jair Ribeiro, a mentionné que la forte participation des jeunes est l’une des caractéristiques les plus importantes de l’EJM.
« On peut voir comment les jeunes s’engagent durant la rencontre » a-t-il signalé. « Ils font plus qu’aider l’organisation : ils prennent la parole et ils peuvent discuter des sujets qui leur sont propres. »
L’attention à l’environnement fut largement présente au cours de la rencontre, comme l’emploi de matériaux recyclables utilisés par les membres de la PJM, il n’y a pas eu de banderoles ou de pancartes, l’usage du plastique fut restreint et les repas étaient composés d’aliments ayant peu d’impact sur la nature.