Solidarité : Comment semer l’espérance dans les cœurs en toute simplicité
Pour nous, Maristes, la solidarité est vue comme la volonté de servir et d’agir en faveur du bien commun, de promouvoir les relations éthiques et générer des chances pour tous. Plus qu’une bonne parole proposée dans des temps difficiles, il s’agit d’une valeur essentielle dans notre vie quotidienne. La solidarité fait partie de la manière d’être mariste.
Durant la pandémie, il a fallu réinventer les manières d’agir, les actions et les projets.
Initiative de la Province du Brésil Centre-Sud
La Province mariste du Brésil Centre-Sud a trouvé une façon de susciter les actions de solidarité et a abordé le thème lors d’un panel et dans un livre électronique.
« Un monde plus fraternel et solidaire » : tel est l’espoir après la pandémie, selon une enquête réalisée par l’Institut Sivis, en collaboration avec le programme Cidade da Gente, à Curitiba. Le projet a permis d’interroger plus de 500 personnes. L’enquête – qui a pris la forme d’un livre électronique – montre, dans un langage simple et accessible, comment des initiatives simples peuvent faire la différence dans le monde.
Le livre numérique intitulé « Solidarité : qu’attendre de l’avenir? – Comment connaître la réalité peut nous aider à transformer le monde en un milieu plus fraternel » est disponible gratuitement. Fais un clic pour le télécharger.
Réalisé par l’équipe de Communication et de Marketing de la Province, en collaboration avec l’Institut Sivis, le livre virtuel a été lancé le 27 août lors d’un panel, Une lampe d’espérance, qui a abordé le thème : Solidarité : qu’attendre de l’avenir?
Le débat pouvait compter sur la présence de représentants de l’Observatoire d’Éducation pour la Solidarité de la PUCPR, de l’Institut Sivis et d’UMBRASIL qui ont abordé le thème du pouvoir de la solidarité dans un moment difficile comme celui que nous vivons. Les participants ont analysé l’obligation d’actions solidaires dans la construction d’un avenir post-pandémie et ont souligné comment la compassion et l’empathie feraient partie de notre vie quotidienne après la crise.