Fr. Emili TurĂş

Supérieur Général 2009-2017

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Espagne – Province de L’Hermitage

Le frère Emili Turú Rofes est né le 24 janvier 1955 à Barcelone (Catalogne – Espagne). Il a passé son enfance à Marçà, Tarragone. Il est le cadet de cinq frères. Sa vie mariste a commencé à Llinars del Vallès (Barcelone), en 1968. Il a fait son noviciat à Santa Maria de les Avellanes (Catalogne – Espagne). Il a émis ses premiers vœux en 1975, et ses vœux perpétuels en 1982.

Il est en possession de plusieurs diplômes académiques: professeur d’enseignement primaire par l’École Universitaire « Cardenal Cisneros » d’Alcalá de Henares ; professeur de catalan par l’Université « Autónoma » de Barcelone, et Licencié en Théologie (Anthropologie Théologique) par le Teresianum de Rome.

Bien que ce soient surtout les enfants et les jeunes (depuis le primaire jusqu’à l’université), qui ont bénéficié de son activité pastorale, son service de l’Institut a été spécialement orienté vers la formation initiale des frères et vers les services provinciaux. Il a accompagné les jeunes frères en tant que directeur du scolasticat à Alcalá de Henares (Madrid – Espagne). A cette époque déjà il a témoigné un grand intérêt pour la vie spirituelle, la vie religieuse et la culture. Dans son étape comme formateur il a su transmettre son souci de la pauvreté et de la justice, ainsi que son engagement envers l’Église.

Par la suite il a œuvré comme Délégué à la Pastorale, Délégué à l’Éducation et Provincial de l’ancienne Province mariste de Catalogne.

Il a participé activement à l’organisation et au développement du Congrès de la Vie Religieuses de Catalogne. Il a aussi collaboré à la rédaction du document « Ce qui est nouveau demande à être vécu d’une manière nouvelle » ; c’est une réflexion sur l’avenir de la vie religieuse.

Pendant son étape comme Provincial, frère Emili Turú a tenu à être proche des frères et de la vie des communautés. Il a promu l’animation des œuvres éducatives, en insistant spécialement sur la pastorale, l’attention aux personnes et la mission partagée avec les laïcs. Il a favorisé la création de petites communautés insérées dans les milieux populaires et le développement de projets sociaux. Il s’est impliqué également dans la coordination avec l’Espagne mariste et la réalité mariste européenne.

C’est au XXe Chapitre général qu’il a été élu Conseiller général. Depuis ce poste de service de l’Institut il a impulsé la célébration de l’Assemblée Internationale de la Mission Mariste, à Mendès, et la création de plusieurs groupes de travail en lien avec la Pastorale mariste des jeunes, la formation universitaire, la mission mariste et la coordination de œuvres sociales…

Son aisance dans les communications et sa maîtrise des langues lui ont permis d’entrer en contact avec les milieux maristes pour dynamiser la mission du frère dans le monde d’aujourd’hui.