05/Feb/2013 VENEZUELA

Maracaibo ? Janvier 2013

Samedi dernier 5 janvier a eu lieu la clôture de l’École d’Animateurs Maristes dans la ville de Maracaibo, Venezuela. Des moments privilégiés pour réfléchir à l’évangélisation des enfants et des jeunes, avec l’aide de Marcellin et de Marie, notre bonne Mère.

Des animateurs de tous âges s’étaient donné rendez-vous dans la ville pour affronter les nouveaux défis de la Pastorale Mariste des Jeunes et répondre aux exigences qui se posent chaque jour au niveau de la formation.

L’année 2013 s’annonce riche d’activités extrêmement importantes et ayant des caractéristiques très spéciales telles que : l’Année Mondiale de la Jeunesse Mariste et la Journée Mondiale de la Jeunesse Mariste à Rio de Janeiro (Brésil) ; notre rencontre à été un moment favorable pour réviser et coordonner les processus des mouvements « Remar » et « Amis en Marche », fleurons de notre Pastorale.

Au cours des trois jours de la rencontre, des questions ont surgi : Que faut-il pour être un meilleur animateur ? Quelle est la vraie mission de l’animateur dans la démarche de l’évangélisation ? A travers ces questions, et d’autres, les jeunes ont réfléchi au travail au sein des mouvements et à leur engagement vis-à-vis de la société ; ils ont découvert qu’il faut suivre l’invitation de Jésus à faire une halte, à réfléchir : «Vous autres, venez à l'écart dans un lieu désert et reposez-vous un peu» (Mc 6,31).

Il reste encore beaucoup de travail à faire ; ce sont les jeunes qui ont la force et la motivation pour l’accomplir. Chacun d’eux est le « moteur » poussé par l’amour de Dieu. C’est Jésus qui les guide pour réaliser Sa mission sur la terre.

Nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont rendu possible cette expérience. Nous sommes partis, conscients que c’est Dieu qui nous appelle, qui nous confie vraiment une mission : être lumière au milieu des ténèbres, les ténèbres qui guettent les jeunes. Il est toujours bon de se rappeler que si Dieu nous confie une mission, il nous donnera aussi les outils pour la mener à bien.

« Je ne puis voir un enfant sans avoir une forte envie de lui dire combien il est beau de vivre, combien il est grand l’amour de Dieu le Père à notre égard », pourrions-nous dire à la manière de saint Marcellin Champagnat.

Puisse Marie, notre bonne Mère, nous guider dans notre marche.

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Daniel Sanabria/ Leiddy Colina

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