Discours sur l?enfer 1

Marcellin Champagnat

(Mat. 25) 1.- Retirez (vous) de moi, maudits, allez au feu Ă©ternel.

2.- Cette sentence de réprobation mettra le comble au désespoir du malheureux pécheur. J.C. dune seule parole renversa les sol- dats qui venaient pour le saisir au jardin des olives. A! si la majesté de lhomme Dieu fut si terrible dans un temps où il pa- ressait comme Sauveur, que sera ce, mes frères quand il paraîtra et parlera en juge irrité et tout-puissant et quil prononcera dune voix plus effrayante que les tonnerres ces redoutables pa- roles: 3.- Quelle terrible situation, M. f. de se voir pour toujours séparé de Dieu pour être précipité dans un gouffre embrasé. Il faudroit connaître Dieu comme nous le connaîtrons après notre mort pour comprendre combien sera grand le supplice de la sépara- tion du pécheur davec son Dieu. Lespérance fait toujours la consolation du malheureux, mais après la mort tout espoir est ravi au pécheur.

4.- Je viens, mes f. dans une exposition courte et simple déve- lopper les paroles de mon texte: séparation de Dieu, peine du feu; éternité. Veuillez mécouter un moment, je ne serai pas long. Esprit St. éclairez-moi de vos lumières; Vierge Ste. votre intercession; et vous, M. f. votre attention.

5.- Je ne marrêterai point ici, mes fr. à vous prouver lex- istence dun enfer; elle est.- si évidente quentreprendre de nier cette vérité, il faudrait aussi nier lexistence de Dieu lui-même; or nier lexistence de Dieu, voilà ce qui na presque pas dexemple.

6.- Menacer le pécheur dêtre séparé de Dieu, cela paraît éton- nant, car est-ce pour lui un supplice ?.- Ici bas il fait son possible pour sen éloigner et tout ce qui peut len distraire est à son goût. Pécheurs aveugle, voilà votre crime, voici votre supplice.

7.- Le tourment le plus terrible des damnés est sans doute la séparation de Dieu. Nous ne pouvons pas en cette vie comprendre toute la grandeur de ce tourment, cependant nous pouvons lent- revoir, en considérant dun côté que Dieu est un bien infini, et de lautre que lâme est faite pour le posséder. Car de même quun membre démis souffre, languit et est abattu, de même lâme qui est comme démise, puisquelle est hors de son centre, souf- fre, mais des tourments dune autre nature et infiniment plus grands.

8.- Nous sommes ici-bas comme dans un sommeil où notre esprit est continuellement occupé de fantômes, le vrai bien pour lequel nous sommes fait ne nous paroit que dans le lointain. Il étoit nécessaire que cela fût ainsi, sans quoi il nous eût été impossi- ble de mériter étant invinciblement entraînes vers le bien su- prême.

9.- Cétoit, m.f., ce bonheur de posséder Dieu qui rendait les martyrs de la primitive Eglise si insensibles au tourments que leur faisait endurer les bourreaux. Cétoit, dis-je, ce qui ren- dait St. Laurent, votre patron, insensible au feu qui consumait sa chair; tandis que son corps étoit ainsi tourmenté, sa ste. âme nageait dans la joie. Ha, m. f. , cest quil comprenait même dès cette vie ce que cest que de posséder Dieu. Nous le comprendrons aussi un jour, mais, hélas, peut-être trop tard.

10.- Représentons nous, mes f. une âme à linstant de la mort. Tous les fantômes qui lamusaient sont évanouis; le bandeau fatal est levé, la lumière brille à ses yeux; Dieu se présente à elle dans toute sa beauté et tout ce quil a dattrayant.

11.- Quel ravissement! Elle voit quelle nest faite que pour lui, elle sy sent irrésistiblement emportée. Mais quel est son supplice! plus elle sefforce pour sunir à son Dieu, plus elle rencontre dobstacle. Elle nentend dautres paroles que la fou- droyante sentence du prophète Osé: Vous nêtes plus mon peuple et je ne suis plus votre Dieu: (I.9) Oui cest en vain quelle sefforce, un bras tout puissant la repousse sans cesse.

12.- Pécheur infortuné, lui dit lauteur de son être, vois, exa- mine ce que tu as perdu regardes ce ciel et les plaisirs quy goûtent mes élus, écoutes les admirables concerts qui réjouissent toute la cour céleste. Cest ce que je taurais donné pour récom- pense de tes bonnes oeuvres, mais comme tu nas fait que des oeu- vres de ténèbres, tu sera privé de ce bien. Je devais être ta récompense, mais puisque tu nas pas voulut obéir, je ne serai point ton Dieu: . Non, Dieu ne sera jamais pour toi quun ennemi irréconciliable et un vengeur tout-puissant.

13.- Tourment incompréhensible: lâme est sans cesse attirée par tout ce que Dieu a daimable et de parfait, et repoussée par tout ce que la haine et lindignation dun Dieu ont de plus épouvanta- ble.

14.- Pécheur, si tu ne comprends point maintenant ce que cest que la perte de Dieu, le damné le comprend et ressent si cruelle- ment la perte quil a faite que si, au milieu des brasiers de lenfer il pouvait espérer de voir son Dieu et de le posséder une heure après chaque mille ans, il seroit content et souffrirait ses tourments avec consolation.

15.- A quoi pensez vous donc, jeune pécheur libertin, et vous, filles sans pudeur, lorsque vous perdez Dieu et que vous le fai- tes perdre aux autres par les manière affectées, par vos danses, par ces et ces fréquentations dangereuses? 16.- Les damnés pleurent cette perte et vous y êtes insensibles. Les damnés voudraient retourner à lui, ils ne le peuvent plus. Vous le pouvez, vous en avez le temps, cependant vous ne le vou- lez pas. Vous avez donc le coeur plus dur quun réprouvé.

17.- Au rapport des Sts.Pères, la privation de Dieu, est le plus grands supplices. Cependant il est un autre qui est bien plus capables de faire impression sur les pécheur, cest la peine du feu, sujet dune seconde réflexion.

18.- En mille endroits les divines écritures font mention dun feu qui dévore les malheureux réprouvés. Les SS Pères, les théo- logiens assurent quelle parle dun feu réel et miraculeux que renferme tout supplice.

19.- Nous ne connaissons point ici-bas dagent plus terrible que le feu. Ce seroit le tourment le plus Ă©pouvantable si on pouvait le souffrir long temps dans toute sa violence. Mais quelques ins- tants de ce supplice suffisent pour faire expirer celui qui le souffre.

20.- Supposons un criminel condamné à être brûlé tout vif. Le voilà placé sur un bûcher entouré dun bois très sec et très com- bustible. A peine le feu est-il allumé que la flamme aussitôt sélève et lenveloppe de toute parts.

21.- Qui pourra se faire une idée de ce qua de violent *et d- insupportable* cette première atteinte, mais elle ne peut durer, le sentiment sémousse dabord et après quelque moments de dou- leur le patient expire. Supposons encore que Dieu fasse un mira- cle pour conserver la vie à ce criminel au milieux du feu, et quil souffre pendant un jour tout ce quil a éprouvé au premier abord. Cette pensée, mes f. ne vous remplir-elle pas deffrois? 22.- Cependant allons plus loin; portons nos regards dans ces fournaises où lon fait fondre le verre ou le fer. Si quelquun y étoit jeté, à peine auroit-il le temps de pousser un cri quil seroit mort. Ce nest donc plus sur un bûcher quil faut placer notre criminel, cest dans une fournaise capable de fondre une masse énorme de fer; que la force épouvantable de ce feu agisse toute sur lui et quil soit forcée dy vivre comme le poisson dans leau.

23.- Malgré lépouvante qui nous saisit, approfondissons cette pensée, et faisons-nous, sil est possible, une juste idée de ce que souffre ce malheureux quand nous en serons venu là nous n- aurons encore rien compris de ce que souffre un damné.

24.- Feu miraculeux; il ny a point de proportions entre le feu de lenfer et celui des fournaises dont nous venons de parler. Les feux dici-bas ne sont quune ombre, celui de lenfer est la réalité et fait souffrir tous les tourments. Il faut égale ment souffrir lâme dans toutes ses puissances et le corps dans tous ses sens. Il ny a point de supplice quun réprouvé nendure: . Job.(20,22) 25.- Jamais les hommes, quelque cruels quils aient été, nont rien in-venté de pareil. Mais ici cest un Dieu qui punit en Dieu et qui dans sa fureur emploie toute sa puissance: succensus est in furore meo.» Deut. (32,22) 26.- Lesprit humain ne peut rien imaginer de plus horrible que la situation dun réprouvé. Tout ce qui se présente à lui le tourmente. Il ne voit que du feu, il navale que du feu, il ne respire que du feu, il ne touche que des objets pénétré de feu . Tout le remplit dhorreur et deffrois. Il ne voit que des figu- res hideuses, des monstres horribles, de démons sous des figures épouvantables. Il nentend que lamentations, hurlements, cris de rages, grincement de dent: . (Mt.13,42) O grand Dieu, quelle horrible situation! 27.- Ajoutons encore à tout cela, mes frères, que le damné dans lenfer naura pas même la liberté de changer de situation et quil sera au milieu de ces tourments aussi perclus de ses mem- bres que sil étoit enseveli par des masses énormes de rochers .

28.- Qui ne frémira à la vue de pareils supplices, cependant tout ce quon en peut dire nest rien, car de même que la gloire du ciel est au-dessus de nos pensées, de même lenfer est au-dessus de notre intelligence. La désolation de lÉgypte en- tière nétoit, dit lécriture, que le doigt de Dieu, mais sagit-il de punir Lucifer et les réprouvés toute sa puissance et toute la force de son bras y est employé: . (Luc. 1,51) 29.- Encore un instant je vous dirai deux mots de ces mêmes pei- nes, du feu, sujet dune troisième réflexion.

30.- Les tourments des damnĂ©s sont encore plus dĂ©sespĂ©rant que cruels, car le rĂ©prouvĂ© voit que tout ce quil souffre, il le souffrira toute lĂ©ternitĂ©: non extinguitur»; – le ver qui le ronge ne meurt point et le feu qui les dĂ©vore ne sĂ©teint point (Is. 66,24; Mc. 9,48) LapĂ´tre St. Jean dit encore.- dans lApocalypse.- : La fumĂ©e de leurs tourments sĂ©lèvera dans les siècles des siècles (Ap. 14,11) 31.- Oui, M. f. vous venez de lentendre, cent annĂ©es de souf- france passeront, mille passeront et lenfer ne fera que commen- cer. Il se passera cent mille et mille million dannĂ©es, et de siècles et lenfer sera Ă  commencer de nouveau.

32.- Si Dieu faisait connaĂ®tre Ă  un rĂ©prouvĂ© quil veut le dĂ©li- vrer de lenfer quand il se sera Ă©coulĂ© autant de millions de siècles quil y a de gouttes deau dans la mer, de grains de sa- ble sur les rivages, cette nouvelle lui causerait infiniment p lus de joie que ne vous en pourroit causer la nouvelle la plus avantageuse, car il pourroit dire Ă  la vĂ©ritĂ©: je souffre de grands maux, mais enfin mes souffrances finiront un jour. Mais il nen sera pas ainsi, car rĂ©ellement autant de siècles sĂ©cou– leront et lĂ©ternitĂ© restera encore toute entière: .

33.- Réfléchissez là-dessus, pécheurs, mais réfléchissez-y mûre- ment, car si vous ne changez de vie, lenfer, après votre dernier soupir, sera votre partage. Non mes f., quil nen soit pas ain- si. Ecoutons plutôt ce que nous dit lenfer: vocem suam». Cest a vous tous, mes f. à qui il adresse la pa- role, cest-à-dire aux justes, aux pénitents et aux pécheurs.

34.- Ames innocentes, prĂŞtez loreille, vous qui avez eu le bon- heur de vous conserver pure et sans tache aux yeux du Seigneur. Redoublez de soin: , pour que le pĂ©chĂ© ne vienne point ternir cet Ă©clat et cette beautĂ© angĂ©lique que vous reçûtes au baptĂŞme. Que cette prières du roi prophète soit tou- jours dans notre bouche: , – conservez moi Seigneur comme la prunelle de loeil.

35.- Pour vous qui ĂŞtes maintenant revenu Ă  au Seigneur, espĂ©rez et tremblez en mĂŞme temps en pensant que peut-ĂŞtre dĂ©jĂ  un grand nombre de ceux que vous avez, par vos mauvais exemples, entraĂ®nĂ© dans le dĂ©sordre, sont condamnĂ©s Ă  brĂ»ler Ă©ternellement avec les dĂ©mons. Remerciez le Seigneur de ce que, dans sa misĂ©ricorde, il a bien voulu vous Ă©pargner des regrets aussi cuisants quin- utiles. Que votre vie exemplaire ramène au chemin de la vertu ceux que vous en avez dĂ©tournĂ© par vos scandales et par vos mau- vais conseils. Enfin dites avec le roi pĂ©nitent: ; – lavez, Seigneur, lavez de plus en plus mon iniquitĂ©.

36.- Pour vous, pécheurs, écoutez, écoutez je vous prie; cest lenfer lui-même qui vous tient ce langage: 37.- Je vous connais, jeunes personnes, vous qui nêtes venus ici que pour offenser le Seigneur. Je vous connais, profanateurs des saints jours de fêtes et de dimanches, danseurs et danseuses, vous qui, au mépris des sages avis, avertissements de votre digne pasteur, courez au sortir de ce st. lieu, dans les cabarets, re- pères des démons. Vous pouvez, chrétiens, dire avec vérité que cette effrontée, que ce jeune libertin que vous allez voir dans un instant, entrer dans ces maisons de débauche, vous pouvez, dis-je, dire que ces personnes seront un jour assurément mes vic- times.

38.- Je vous connais encore pour mappartenir, calomniateurs, rancuniers, médisants, ivrognes, fornicateurs, orgueilleux et vous avares, et vous injustes ravisseurs du bien dautrui, je vous connais tous, vous êtes mes créatures. Cest en vain, oui, cest en vain que vous vous flattez de pouvoir méchapper si, tout de suite, vous ne changez de vie.? 39.- Peut-on moissonner quand on a rien semé, et quand on a semé des crimes, peut-on moissonner des bonnes oeuvres? 40.- (La bonne mort est le fruit dune bonne vie. Or, mes f., vous le savez, peut-on.- recueillir le fruit si on a point d- arbre à fruit.

41.- Ecoutez mes f. la voix de vos devancier dans le crime, de vos parents, de vos amis peut-ĂŞtre qui, comme vous, disaient vou-loir se sauver et qui dĂ©jĂ  du milieu des flammes crient avec le mauvais riche: , – nous sommes cruel- le-ment tourmentĂ© dans ces flammes.

42.- Et vous, impudique de lun ou de lautre sexe, Ă  qui appar- tenez-vous? Oseriez vous dire que vous appartenez Ă  Dieu, infâmes corrupteurs tandis que vous rougissez vous-mĂŞme de vous voir aussi sales et davoir le coeur aussi gâtĂ©, aussi corrompu que vous lavez. Les animaux eux-mĂŞmes ne se portent peut-ĂŞtre pas mĂŞme aux excès auxquels…) 43.- 1) Non, M. f., ni le tranchant des Ă©pĂ©es, ni les roues, ni les verger, ni les ongles de fer, instruments avec lesquels on enlevait par violence le peau des martyrs, ni les chevalets, ni les fouets les plus cruels parce que tout cela nĂ©toit que l invention des hommes, mais ici…

44.- 2) Les horreurs des guerres, les pestes, les famines, les grêles, les déluges, les tremblements de terre qui écroulent et engloutissent des villes et des provinces entières, tout ceci nest, dit lécriture, que le doigt de Dieu.

45.- 3) On ne peut Ă©viter lenfer si on ne fait une bonne mort, on ne peut faire une bonne mort, si on ne mène pas une bonne vie, car la bonne mort est le fruit dune bonne vie. A quoi pouvez– vous donc vous attendre, vous qui entassez crime sur crime, Ă  quoi ? Ă  une très mauvaise mort: .

46.- 4) Ecoutez mes f., la voix de vos devancier dans le crime, de vos parents, de (vos) amis peut-ĂŞtre qui, comme vous, di- soi(en)t vouloir se sauver et qui dĂ©jĂ  du milieu des flammes crient avec le mauvais riche: , – nous sommes cruellement tourmentĂ© dans ces flammes.

47.- Mais encore, permettez-moi, m. f., pour votre instruction de tirer de ce lieu dhorreur lami, le compagnon de ce jeune libertin, le contemporain de ce vieillard impudique. Oui, permet- tez-moi, m. f., jeunes et vieux, vous surtout esclaves de vi ce infâme de limpureté, permettez-moi, dis-je, de tirer du fond des enfers le complice de vos crimes.

48.- Le voila au milieu de vous tous pécheurs, et vous surtout, infâmes partisans du vice, péchés sales de limpureté, le voyez-vous ce damné, voyez-vous sa figure couverte des saletés dont il sest souillé et dont vous lavez souillé vous-même.

49.- Voyez ses mains écorchées et toutes brûlantes par le châti- ment de ses actions honteuses et de ses sales attouchements. Voyez-vous ses oreilles que vous-même avez souillées par vos pa- roles obscènes, ses yeux, ses narines, sa bouche qui lancent le feu et le souffre brûlant à gros tourbillons. Voyez-vous ces ser- pents furieux qui le déchirent comme à lenvie. Voyez-vous ce dragon infernal, excité par la juste fureur de Dieu qui prend à tâche de déchirer ses membres qui ont le plus participé au crime. 50.- Voyez aussi ce jeune enfant à qui il avait appris le mal qui un fouet à la main anime tous les monstres infernaux à le tourmenter. Mais écoutez aussi, pécheurs, ses cris déchirants et lamentables, car cest contre vous malheureux esclaves du péché, quil enrage?. Viens malheureux, viens malheureuse, toi qui ma précipité dans lépouvantable malheur où je souffre dincompréh- ensibles tourments.

51.- Il me semble, mes f., vous entendre dire que vous voulez éviter de pareils tourments. Mais ces flammes qui brûlent dans vos coeurs, cet ennui, ce chagrin que vous éprouvez, ce désespoir qui suit le crime, ne vous annoncent-ils pas davance ce que vous éprouverez au premier jour. Vous vous convertirez, dites vous, mais quand.

[Le texte qui suit et qui est rayĂ© de deux grands X, est le recto (R) et le verso (V) dune feuille dont les deux tiers sont arra- chĂ©s. La finale est en haut dune troisième page qui ne contient pas autre chose.] 52.- R (Vous vous portez depuis longtemps, – et ces flammes qui brĂ»lent dans vos coeurs, cet ennui, ce chagrin que vous Ă©prouvez, au premier jour. Vous vous convertirez, dites-vous, mais quand, Ă  lheure de la…) 53.- V Men moquant je vous insulterai? de tous ceux, mes f. qui renvoient leur conversion Ă  un autre temps, meurent sans avoir eu le temps de la faire, et leur mort est très mauvaise: 54.- Pouissions (sic) tous un jour nous voir dans le sein de la gloire que je vous souhaite. Ainsi soit-il.

fonte: Daprès AFM. 134.02

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